Nous parlons d’habileté d’étirement, parce que c'est un savoir-faire que la personne doit appendre . Ce savoir faire c'est le relâchement tonique sur soupir expiratoire . Ce relâchement tonique est dépendant de plusieurs facteurs:
- La sécurité de la posture.
Le patient doit apprendre à ressentir ses appuis, tenir en équilibre dans cette posture pour étirer le groupe musculaire recherché.
- La douleur liée à l'étirement musculo-conjonctif.
Au cours des séances, la personne va devenir de plus en plus habile dans la tenue de sa posture, dans le relâchement respiratoire et dans le contrôle de sa douleur. Elle s'autorise peu à peu à augmenter l'amplitude de sa posture qu'il faudra mesurer avec des instruments intra-opérateur fiables et reproductibles.
- La connaissance extrinsèque du résultat.
Le thérapeute, pourra alors informer la personne de sa performance en cours afin que celle-ci tente ou pas d'égaler voire de dépasser son record.
L’amplitude articulaire n’est pas qu’une mesure analytique, passive, répondant à des paramètres mécaniques, ligaments, muscles, tendons. C’est une capacité qui s’apprend, c’est donc une habileté à relâcher ses muscles sur un certain polygone.
Plus le polygone se réduit, plus les tensions musculaires augmentent et plus l’amplitude risque de se réduire. Le patient apprend peu à peu ce relâchement dans chaque posture et l’«incorpore» peu à peu à son schéma corporel. Par exemple, il ne s’agit pas d’évaluer la rétraction des ischio-jambiers mais de mesurer l'envergure de l'enjambée réalisée couché sur le dos, debout bipodal les pieds au sol ou debout bipodal un pied posé sur la table. La recherche d’amplitude vient alors agir à plusieurs niveaux:
- C'est une double tâche: la personne automatise son appui en se focalisant sur l'amplitude.
- c'est une habileté morphocinétique. (II.3.2.) Le pratiquant pense que le résultat à produire est de reproduire la forme gestuelle décrite par l’éducateur. Le mouvement devient une fin en lui-même.
C'est ce qui correspond au travail à la barre des danseuses. Le patient est bien là dans une démarche de correction esthétique.
C'est une concession faite au désir d'habileté morphocinétique des personnes neurolésées. En effet, les personnes parétiques attachent une grande importance à l'esthétique de leur marche. Elles pensent qu'en s'appliquant à bien marcher, (habileté morphocinétique) elles vont mieux marcher. Pour celà elles ralentissent la marche. Nous nous pensons le contraire: c'est en marchant beaucoup que le nombre de pas améliorera la qualité.( voir châpitre marche). En revanche, on leur propose une démarche morphocinétique quand on étire les muscles sollicités par les compensations. Là, on peut focaliser son attention sur la forme du geste. On répond à son attente du mouvement "correct".
Le patient doit apprendre à ressentir ses appuis, tenir en équilibre dans cette posture pour étirer le groupe musculaire recherché.
- La douleur liée à l'étirement musculo-conjonctif.
Au cours des séances, la personne va devenir de plus en plus habile dans la tenue de sa posture, dans le relâchement respiratoire et dans le contrôle de sa douleur. Elle s'autorise peu à peu à augmenter l'amplitude de sa posture qu'il faudra mesurer avec des instruments intra-opérateur fiables et reproductibles.
- La connaissance extrinsèque du résultat.
Le thérapeute, pourra alors informer la personne de sa performance en cours afin que celle-ci tente ou pas d'égaler voire de dépasser son record.
L’amplitude articulaire n’est pas qu’une mesure analytique, passive, répondant à des paramètres mécaniques, ligaments, muscles, tendons. C’est une capacité qui s’apprend, c’est donc une habileté à relâcher ses muscles sur un certain polygone.
Plus le polygone se réduit, plus les tensions musculaires augmentent et plus l’amplitude risque de se réduire. Le patient apprend peu à peu ce relâchement dans chaque posture et l’«incorpore» peu à peu à son schéma corporel. Par exemple, il ne s’agit pas d’évaluer la rétraction des ischio-jambiers mais de mesurer l'envergure de l'enjambée réalisée couché sur le dos, debout bipodal les pieds au sol ou debout bipodal un pied posé sur la table. La recherche d’amplitude vient alors agir à plusieurs niveaux:
- C'est une double tâche: la personne automatise son appui en se focalisant sur l'amplitude.
- c'est une habileté morphocinétique. (II.3.2.) Le pratiquant pense que le résultat à produire est de reproduire la forme gestuelle décrite par l’éducateur. Le mouvement devient une fin en lui-même.
C'est ce qui correspond au travail à la barre des danseuses. Le patient est bien là dans une démarche de correction esthétique.
C'est une concession faite au désir d'habileté morphocinétique des personnes neurolésées. En effet, les personnes parétiques attachent une grande importance à l'esthétique de leur marche. Elles pensent qu'en s'appliquant à bien marcher, (habileté morphocinétique) elles vont mieux marcher. Pour celà elles ralentissent la marche. Nous nous pensons le contraire: c'est en marchant beaucoup que le nombre de pas améliorera la qualité.( voir châpitre marche). En revanche, on leur propose une démarche morphocinétique quand on étire les muscles sollicités par les compensations. Là, on peut focaliser son attention sur la forme du geste. On répond à son attente du mouvement "correct".
III.2.1 Gains ou Entretien des Amplitudes Articulaires :
La plainte des patients et la diminution
des amplitudes articulaires.
Il est exceptionnel que les personnes neurolésées se plaignent spontanément
de raideurs articulaires. Elles se plaignent de de mouvement actifs, de douleurs, mais rarement d’un manque
d’amplitude. Elles sont même assez réticentes à ce qu’on leur « soigne » ces
raideurs, prétendant alors que "de toute façon, je n'ai jamais été souple"..
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Objectifs :
Dans les autres parties de la
rééducation (habiletés segmentaires et marche), on laisse les personnes neurolésées compenser leurs déficiences et s’auto-organiser. Il s’agit dans cette partie de corriger les déformations
induites par les compensations afin d’éviter des rétractions musculaires et conjonctives
durables qui seraient à terme préjudiciables à sa locomotion.
III.2.2 Technique
de mesure du gain d’amplitude
III. 2;3; Douleur Consentie.
Dans
ce type d’activité, le kinésithérapeute devient thérapeute manuel pour essayer
avec le patient de repousser le seuil de la douleur et maintenir les postures
plusieurs minutes.
Le contracter-relâcher
suivi d’une posture maintenue plusieurs minutes dans l’amplitude
finale est la technique principale pour les étirements.
Au cours d'un posture d'étirement, l'échelle d'évaluation sur 10 n'est d'aucun secours. Il n'y a alors que trois types de douleurs:
- des douleurs légères supportables,
- des douleurs intenses supportables un certain temps,
- des douleurs intenses insupportables, il faut s'arréter net!
Au cours d'un posture d'étirement, l'échelle d'évaluation sur 10 n'est d'aucun secours. Il n'y a alors que trois types de douleurs:
- des douleurs légères supportables,
- des douleurs intenses supportables un certain temps,
- des douleurs intenses insupportables, il faut s'arréter net!
Il
est fondamental d’avoir un code fiable qui s’adaptera aux troubles
cognitifs, aphasie, mutismes etc.) de la personne pour savoir jusqu’où elle consent
à endurer la douleur :
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Plus la mesure est précise et plus la personne aura confiance
et endurera plus longtemps la posture. Si le segment étiré appuie sur une butée (sac de sable), le
patient est rassuré (on ne risque plus d’augmenter l’amplitude). Sentant l'appui, il accepte alors
plus facilement de se détendre.
La sensation d'appui vient informer le cerveau de l'amplitude du polygone. Le cerveau automatique donnera alors plus facilement l'ordre de détente plutôt que de défense.
Il est important pour le schéma corporel que la personne intègre ses points d'appuis et tensions en amplitude maximale au lieu de péréniser l' attitude spontanée dans la contracture spastique.
Suivi longitudinal et fiabilité de la mesure intra
opérateur
Aménagement Matériel du Milieu
Le kinésithérapeute s’enquiert de connaitre le traitement « antispastique » du patient. (Benzodiazépine (cérébral), Baclofène (moelle) Botox (muscle) et peut dans certains cas proposer une fenêtre thérapeutique au médecin pour voir si le patient arrive à contenir les effets néfastes de la spasticité par des efforts réguliers et des postures régulières.
Rétraction musculaire
Chirurgie
La sensation d'appui vient informer le cerveau de l'amplitude du polygone. Le cerveau automatique donnera alors plus facilement l'ordre de détente plutôt que de défense.
Il est important pour le schéma corporel que la personne intègre ses points d'appuis et tensions en amplitude maximale au lieu de péréniser l' attitude spontanée dans la contracture spastique.
Suivi longitudinal et fiabilité de la mesure intra
opérateur
Il est nécessaire de faire un suivi longitudinal pour bien connaitre les
réactions du patient et obtenir la plus grande amplitude possible supportée. Il
faut que le patient soit en confiance pour oser relâcher sa tension musculaire
et obtenir la plus grande amplitude possible. La performance est écrite pour que
patient et kiné s’y réfèrent pendant la posture.
Aménagement Matériel du Milieu
La cage. Il est important de prévoir une cage d’équilibre qui permet au patient
d’être rassuré dans les postures debout afin de pouvoir se détendre.
Orthèses : pour certains hémiplégiques spastiques, on est obligé d’utiliser
des orthèses de coude et de main afin de pouvoir tenir les postures.
Pour certains
patients IMC, on est obligé d’utiliser des orthèses de genoux afin de parvenir
aux étirements d’ischio jambier et adducteurs.
Utilisations d’orthèses cruro-jambières avec les IMC afin de contenir
les compensations à la posture.
|
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III.2.4 Les freins à l’amplitude
Le kinésithérapeute procède par contracter
relâcher, thérapie manuelle, mobilisations, postures massages et techniques
respiratoires afin de relâcher le muscle « contracturé ».
-
Le patient se plaint-il de la spasticité ou de la
parésie ? Est-ce qu’on n’a pas focalisé la plainte du patient sur la spasticité, parce qu’on a des réponses médicamenteuses ? On
peut penser que nombre de kinésithérapeutes et MPR faisant de la spasticité leur
adversaire principal contribuent à renforcer la plainte du patient sur ce symptôme.
(Voir plus haut effet nocebo II.2.1)
Faut-il lutter contre la spasticité de
façon générale, doit on lutter uniquement contre les signes gênants la fonction ou
peut-on améliorer la fonction sans lutter contre la spasticité mais en faisant
avec ? Le botox est-il le bon remède ? Ne provoque-t-il pas à la longue
une sarcopénie et donc un raccourcissement du muscle ? Par ailleurs lorsqu’on
dit Ashworth 4 : mobilisation impossible. Est-ce qu’on a fait le diagnostic
différentiel avec le raccourcissement musculo-tendineux ?
Il n’existe pas de traitements agissant spécifiquement sur la spasticité.
Neurotomies, botox, et botox et Baclofène agissent surtout contre la motricité.
On n’agit pas sur la boucle gamma.
Constatant que l’effort
augmentait la spasticité, Bobath l’interdisait. Mais c’était ignorer les processus
d’habituation.
L’habituation
Appelée aussi « apprentissage négatif »[1].
C’est la diminution graduelle (et
relativement prolongée) de l'intensité ou de la fréquence d'apparition d'une
réponse suite à la présentation répétée ou prolongée du stimulus l'ayant déclenchée.
On s’est ainsi rendu compte que la répétition
des efforts et tension rehaussait le seuil d’excitation de la spasticité. Il
suffit donc de procéder de même avec l’ensemble des épines irritatives :
rétractions, douleur, effort, fatigue, stress peur et variations de températures
pour rendre la spasticité « éducable ». Si l’on agit sur les
rétractions on diminuera les douleurs de raideurs et donc on diminuera l’expression
spastique.
Le kinésithérapeute s’enquiert de connaitre le traitement « antispastique » du patient. (Benzodiazépine (cérébral), Baclofène (moelle) Botox (muscle) et peut dans certains cas proposer une fenêtre thérapeutique au médecin pour voir si le patient arrive à contenir les effets néfastes de la spasticité par des efforts réguliers et des postures régulières.
On a conditionné les patients à détester leur spasticité, alors que leur plainte porte sur la paralysie. "Je ne peux plus ouvrir ma main". Mais on n'a pas de médicament contre la paralysie. Alors on les conditionne à se plaindre de la spasticité. (Et là on a des kyrielles de médicaments) mais notre devoir est d'informer le patient:
- La spasticité n'est pas la cause de la paralysie, mais sa conséquence
- Dans la plupart des cas, ce n'est pas la spasticité qui empêche d'ouvrir la main. C'est la paralysie des extenseurs. Il y a quelques cas où paralyser les fléchisseurs peut faciliter l'expression des extenseurs. Mais c'est loin d'être la règle. Or, on a inversé la pratique, c'est l'exception qui est devenue la règle.
- la spasticité a des effets bénéfiques:
- La plupart du temps, la spasticité de la main est utile pour tenir un barreau de l'espalier, voire d'un rollator et équilibrer la posture en rééducation. Une main spastique fermée sur l'espalier, permet à la personne hémiplégique d'apprendre à tenir sa posture unipodale sur le pied parétique. Après botox, quand ils reviennent tout fiers avec leur main molle, on attend plusieurs semaines avant de reprendre ces exercices.
- La spasticité s'avère parfois utile pour verrouiller les articulations lors de la marche et éviter de tirer sur le tissus conjonctif du membre supérieur.
- Enfin, la spasticité cérébrale est éducable et elle est sensible à la rééducation.
Un triceps spastique éduqué (étiré en charge et habitué à l'effort) sert de contention à la cheville et certains de nos patients ont perdu la course du jour où on leur a supprimé la spasticité tricipitale.
- enfin dans les formations, quand je demande aux professionnels s'ils préfèrent rééduquer un patient spastique ou un patient flasque, TOUS ont répondu à ce jour qu'ils préfèrent rééduquer un patient spastique parce qu'il est plus résistant. Il faut donc penser à donner tout ces éléments au patient.
Extrait de Aide à la décision médicale partagée Synthèse p.1 HAS 2012
- "le professionnel de santé et le patient partagent de manière bilatérale une
information médicale, notamment les éléments de preuve scientifique ;
- Le patient reçoit le soutien nécessaire pour envisager les différentes options
possibles et exprimer ses préférences. Ces options peuvent être du domaine de la
prévention, du diagnostic ou du traitement, et comprennent l’option de ne pas agir ;
- un choix éclairé entre les différentes options est effectué et accepté mutuellement
par le patient et le professionnels de santé."...
information médicale, notamment les éléments de preuve scientifique ;
possibles et exprimer ses préférences. Ces options peuvent être du domaine de la
prévention, du diagnostic ou du traitement, et comprennent l’option de ne pas agir ;
par le patient et le professionnels de santé."...
Si l'on messure l'effet de la toxine botuline avec l'échelle Asworth avant après. Les effets sont merveilleusement efficaces, forcément on paralyse la plaque motrice.
Mais à quoi ça sert? L'Ashworth se pratique patient couché en réponse à un mouvement passif. Or la spasticité peut être génante debout, au mouvement actif.
Pour mesurer l'efficacité réelle du traitement, il faudrait que les études mesurent les améliorations fonctionnelles. Et là c'est beaucoup plus flou.
Qui voudrait financer une telle recherche? A part la CPAM on ne voit pas quel laboratoire voudrait mettre de l'argent la-dedans. Ce serait tuer la poule aux oeufs d'or. Une séance de botox coute le prix de trente à cinquante séances de kiné. Elle maintient le patient passif et dépendant alors que la kiné vise le contraire.
On commence à trouver des
articles décrivant sarcopénie et
ostéopénie chez les souris et les rats, mais tout va bien chez l’humain??
Vegger JB, Brüel A, Brent MB, Thomsen JS. Disuse osteopenia induced by
botulinum toxin is similar in
skeletally
mature young
and aged female
C57BL/6J mice.
Journal of bone
and mineral metabolism.
2018 Mar 1;36(2):170-9.
Pingel J, Nielsen MS, Lauridsen T,
Rix K,
Bech M,
Alkjaer T,
Andersen IT, Nielsen JB, Feidenhansl R.
Injection of high dose botulinum-toxin A leads to impaired skeletal
muscle function
and damage of the fibrilar
and non-fibrilar
structures. Scientific reports. 2017 Nov 7;7(1):14746.
Vegger JB, Brüel A, Dahlgaard AF, Thomsen JS. Alterations in
gene
expression precede sarcopenia
and osteopenia in
botulinum toxin immobilized mice.
Journal of musculoskeletal
& neuronal interactions. 2016 Dec;16(4):355.
Ausk BJ, Gross TS, Bain SD. Botulinum toxin-induced
muscle paralysis inhibits heterotopic bone
formation. Clinical Orthopaedics
and Related Research®.
2015 Sep 1;473(9):2825-30.
A part quelques cas de paralysie de déglutition ou de faiblesses musculaires, aucune description de complication décrite chez des gens botoxés trois fois par an pendant des années.
Qui voudrait financer une telle recherche? A part la CPAM on ne voit pas quel laboratoire voudrait mettre de l'argent la-dedans. Ce serait tuer la poule aux oeufs d'or. Une séance de botox coute le prix de trente à cinquante séances de kiné. Elle maintient le patient passif et dépendant alors que la kiné vise le contraire.
A part quelques cas de paralysie de déglutition ou de faiblesses musculaires, aucune description de complication décrite chez des gens botoxés trois fois par an pendant des années.
Rétraction musculaire
Malheureusement
chez des patients chroniques de longue durée, la rétraction musculaire est structurelle
par atrophie, sarcopénie.
Pourquoi alors
continuer à les botoxer deux ou trois fois par an ?
Rétractions conjonctives tendons,
ligaments, capsules, peau
- idem pour les rétractions conjonctives. Nous ferons des -étirements postures en attendant une chirurgie si c’est nécessaire pour améliorer certaines fonctions.
- idem pour les rétractions conjonctives. Nous ferons des -étirements postures en attendant une chirurgie si c’est nécessaire pour améliorer certaines fonctions.
Chirurgie
Après
échec des cures de postures régulières, il faudra prendre l’avis d’un chirurgien
pour procéder à des allongements tendineux ou myofasciotomie ou des désinsertions
si la fonction marche est entravée ou précaire à cause des raccourcissements.
Il faut
arriver à faire bouger les représentations du corps du patient. Il croit
souvent qu’il est fait de pièces mécaniques qui s’usent et qu’il faut
remplacer. Le kinésithérapeute est alors celui-qui explique la physiologie du
muscle et des tissus conjonctifs qui se renouvellent et s’adaptent aux
pressions et tractions comme il se sont adaptés à l’immobilité.
C’est dans ce secteur
d’activité motrice que l’on va demander le plus d’effort au patient pour une
pratique prophylactique pluri-hebdomadaire à domicile. (Photo ci-contre)
[1]
Jouvet, M. (1965). Mécanismes neurophysiologiques
de l'habituation. In 2e Symposium de Bel-Air, Deafférentation expérimentale
et clinique (pp. 14-36). Cité par Jeannerod, M., & Hecaen,
H. (1979). Adaptation et restauration des fonctions nerveuses. Simep.
CIH 2
FONCTIONS DES ARTICULATIONS ET DES OS (b710-b729)
b710 Fonctions relatives à la mobilité des articulations
fonctions relatives à l'amplitude et à la facilité de mouvement d'une articulation
Inclusions: fonctions relatives à la mobilité d'une seule ou de plusieurs articulations, des
articulations de la colonne vertébrale, de l'épaule, du coude, du poignet, de la hanche,
du genou, de la cheville, des petites articulations des mains et des pieds; mobilité
générale des articulations; déficiences comme dans l'hypermobilité des articulations, les
articulations bloquées, l'épaule bloquée, l'arthrite
Exclusions: fonction relatives à la stabilité des articulations (b715); fonction de contrôle
des mouvements volontaires (b760)
b7100 Mobilité d'une seule articulation
fonctions relatives à l'amplitude et à la facilité de mouvement d'une articulation
b7101 Mobilité de plusieurs articulations
fonctions relatives à l'amplitude et à la facilité de mouvement de plus d'une
articulation
b7102 Mobilité générale des articulations
fonctions relatives à l'amplitude et à la facilité de mouvement des articulations
dans tout le corps
b7108 Autres fonctions précisées relatives à la mobilité des articulations
b7109 Fonctions non précisées relatives à la mobilité des articulations
b715 Fonctions relatives à la stabilité des articulations
fonctions relatives au maintien de l'intégrité structurelle des articulations
Inclusions: fonctions relatives à la stabilité d'une seule articulation, de plusieurs
articulations et des articulations en général; déficiences comme l'articulation instable de
l'épaule, la luxation d'une articulation, la luxation de l'épaule et de la hanche
Exclusions: fonctions relatives à la mobilité des articulations (b710)
b7150 Stabilité d'une seule articulation
fonctions relatives au maintien de l'intégrité structurelle d'une articulation
b7151 Stabilité de plusieurs articulations
fonctions relatives au maintien de l'intégrité structurelle de plus d'une articulation
b7152 Stabilité générale des articulations
fonctions relatives au maintien de l'intégrité structurelle des articulations dans tout
le corps
b7158 Autres fonctions précisées relatives à la stabilité des articulations
b7159 Fonctions non précisées relatives à la stabilité des articulations
b720 Fonctions de mobilité des os
fonctions relatives à l'amplitude et à la facilité de mouvement de l'omoplate, du pelvis,
des os du carpe et du tarse
Inclusions: déficiences comme l'omoplate bloquée et le pelvis bloqué
Exclusions: fonctions relatives à la mobilité des articulations (b710)
b7200 Mobilité de l'omoplate
fonctions relatives à l'amplitude et à la facilité de mouvement de l'omoplate
Inclusions: déficiences comme la protraction, la rétraction, la rotation latérale, la
rotation médiale de l'omoplate
b7201 Mobilité du bassin
fonctions relatives à l'amplitude et à la facilité de mouvement du bassin
Inclusion : rotation du bassin
b7202 Mobilité des os carpiens
fonctions relatives à amplitude et à la facilité de mouvement des os du carpe
b7203 Mobilité des os tarsiens
fonctions relatives à l'amplitude et à la facilité de mouvement des os du tarse
b7208 Autres fonctions précisées relatives à la mobilité des articulations
b7209 Autres fonctions non précisées relatives à la mobilité des articulations
b729 Autres fonctions précisées et non précisées des articulations et des os
CIH 2
FONCTIONS DES ARTICULATIONS ET DES OS (b710-b729)
b710 Fonctions relatives à la mobilité des articulations
fonctions relatives à l'amplitude et à la facilité de mouvement d'une articulation
Inclusions: fonctions relatives à la mobilité d'une seule ou de plusieurs articulations, des
articulations de la colonne vertébrale, de l'épaule, du coude, du poignet, de la hanche,
du genou, de la cheville, des petites articulations des mains et des pieds; mobilité
générale des articulations; déficiences comme dans l'hypermobilité des articulations, les
articulations bloquées, l'épaule bloquée, l'arthrite
Exclusions: fonction relatives à la stabilité des articulations (b715); fonction de contrôle
des mouvements volontaires (b760)
b7100 Mobilité d'une seule articulation
fonctions relatives à l'amplitude et à la facilité de mouvement d'une articulation
b7101 Mobilité de plusieurs articulations
fonctions relatives à l'amplitude et à la facilité de mouvement de plus d'une
articulation
b7102 Mobilité générale des articulations
fonctions relatives à l'amplitude et à la facilité de mouvement des articulations
dans tout le corps
b7108 Autres fonctions précisées relatives à la mobilité des articulations
b7109 Fonctions non précisées relatives à la mobilité des articulations
b715 Fonctions relatives à la stabilité des articulations
fonctions relatives au maintien de l'intégrité structurelle des articulations
Inclusions: fonctions relatives à la stabilité d'une seule articulation, de plusieurs
articulations et des articulations en général; déficiences comme l'articulation instable de
l'épaule, la luxation d'une articulation, la luxation de l'épaule et de la hanche
Exclusions: fonctions relatives à la mobilité des articulations (b710)
b7150 Stabilité d'une seule articulation
fonctions relatives au maintien de l'intégrité structurelle d'une articulation
b7151 Stabilité de plusieurs articulations
fonctions relatives au maintien de l'intégrité structurelle de plus d'une articulation
b7152 Stabilité générale des articulations
fonctions relatives au maintien de l'intégrité structurelle des articulations dans tout
le corps
b7158 Autres fonctions précisées relatives à la stabilité des articulations
b7159 Fonctions non précisées relatives à la stabilité des articulations
b720 Fonctions de mobilité des os
fonctions relatives à l'amplitude et à la facilité de mouvement de l'omoplate, du pelvis,
des os du carpe et du tarse
Inclusions: déficiences comme l'omoplate bloquée et le pelvis bloqué
Exclusions: fonctions relatives à la mobilité des articulations (b710)
b7200 Mobilité de l'omoplate
fonctions relatives à l'amplitude et à la facilité de mouvement de l'omoplate
Inclusions: déficiences comme la protraction, la rétraction, la rotation latérale, la
rotation médiale de l'omoplate
b7201 Mobilité du bassin
fonctions relatives à l'amplitude et à la facilité de mouvement du bassin
Inclusion : rotation du bassin
b7202 Mobilité des os carpiens
fonctions relatives à amplitude et à la facilité de mouvement des os du carpe
b7203 Mobilité des os tarsiens
fonctions relatives à l'amplitude et à la facilité de mouvement des os du tarse
b7208 Autres fonctions précisées relatives à la mobilité des articulations
b7209 Autres fonctions non précisées relatives à la mobilité des articulations
b729 Autres fonctions précisées et non précisées des articulations et des os
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